• Il est très facile de créer des étiquettes avec les logiciels de TNI.

    Mode d'emploi sur Promethean :

    - choisir une des formes (rectangle, rondes, etc ) proposée par Active Inspire (logiciel TNI) et de la mettre à la taille voulue

    - puis taper ce que  l'on souhaite mettre dedans.

    - positionner le texte sur l'étiquette si vous n'avez pas bien placé votre curseur avant de taper.

    - Faire passer l'image de l'étiquette au niveau inférieur si on a d'abord écrit le texte avant de faire l'étiquette (navigateur de propriété de l'objet qui apparait quand on clique dessus puis  choisir organiser et enfin niveau inférieur) .

    - Cliquer sur la flèche et sélectionner le texte et l'image de l'étiquette ensemble et les grouper pour qu'elles bougent ensembles (navigateur de propriété de l'objet : cliquer sur l'icone des 2 carrés verts entourés ensemble). Et voilà !

     Les étiquettes peuvent servir à reconstituer des phrases, remettre des paragraphes ou des nombres dans l'ordre, placer des mots dans un tableau, qui lui sera verrouillé (l'élève ne peut plus le déplacer).

     

    On peut créer par exemple très facilement un paperbord avec des lettres puis des mots à remettre dans l'ordre alphabétique: ce paperbord aura plusieurs pages afin d'être progressif. Certains élèves n'auront pas besoin de faire les pages du début et d'autres ne feront pas celles de la fin. Organiser ensuite des "concours de dictionnaires " afin d'apprendre à chercher des mots très vite dans le dictionnaire.

    ex de document: mes étiquettes pour l'ordre alphabétique ici. ordre alphabetique.flipchart »

     C'est un gain de temps qui permet d'éviter une grosse préparation matérielle, comme le découpage . Nos élèves sont encore à l'âge de la manipulation mais notre temps est limité. Le TNI, utilisé ainsi, se situe entre la manipulation et l'abstraction. Il permet de passer plus facilement de l'un à l'autre.

    Pour les élèves qui ont plus de mal à comprendre, il faudra peut-être reprendre le même travail en petit groupe, voire individuellement, une deuxième fois. C'est l'autre avantage: on peut réutiliser le même à l'infini.

    Le TNI permet aux élèves, lents en copie, ou qui ont des difficultés en écriture, de travailler l'écrit, de le manipuler sans écrire au départ (comme les étiquettes mais il n'y a pas non plus l'obstacle d'avoir plein de petites étiquettes que l'on perd !). Bref, l'élève comprend la notion, est actif d'abord puis on complexifie la tâche en rajoutant l'écriture.

     

    Le TNI permet de travailler même si la classe est très hétérogène. Les usages sont multiples. Les élèves sont actifs: ils cherchent même s'ils ne sont pas tous au TNI.

     

    Le TNI permet également d'utiliser des étiquettes pour cacher du texte ou des images. On peut cacher le bas d'une ligne de texte, ou une partie des mots (lecture cycle 2). On peut cacher les mots et laisser une image visible (langue, orthographe).

     

    On peut préparer des exercices de toutes sortes et cacher les réponses avec des étiquettes noires que les élèves vont déplacer.

    Ce genre d'exercice peut être utilisé en collectif mais également en soutien pendant le temps de classe. Ce travail en autonomie permet de faire travailler par petits groupes sur des exercices autocorrectifs. La différence avec le travail sur fichier auto-correctif, c'est que les enfants sont plusieurs sur le même grand document: ils sont obligés de discuter entre eux et d'argumenter afin de ne proposer qu'une seule réponse. Parfois, d'ailleurs, ils viennent vous chercher quand ils n'arrivent pas à se mettre d'accord.

    Le rôle de l'enseignant est de faire un bilan avec le groupe sur ce qui a été réussi et sur les erreurs et de faire le point avec les élèves sur le pourquoi des erreurs et donc de faire résumer aux élèves ce qui a été compris.

    Dans un fichier auto-correctif, l'élève qui s'est trompé voit la bonne réponse, fait le constat qu'il s'est trompé, mais cela va rarement plus loin.

     

    Le TNI permet également d'utiliser des spots ou un rideau. Utile en arts visuels pour faire découvrir une oeuvre par morceau puis éventuellement inventer, compléter, le reste du tableau.

    Utile en lecture et en rédaction pour vérifier la compréhension d'un texte en faisant inventer la suite ou le début de l'histoire.

    Alors bien sûr, là encore, cela peut être fait individuellement, sur photocopie. Mais là encore, le TNI apporte un plus.

    D'abord, les écoles ne peuvent pas faire de photocopies couleur pour chaque élève. Voir une oeuvre d'art, en couleur et sur écran géant c'est quand même autre chose que regarder un document en couleur sur un format A3 pour toute la classe ou en A4 en noir et blanc individuellement.

    Et surtout, l'avantage majeur du TNI est qu'il pousse au débat, à l'argumentation, à la justification car il n'y a qu'un document collectif géant et qu'il peut y avoir plusieurs propositions qui en découlent.

     


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    On peut aussi y intégrer des objets que l'on peut dupliquer comme les pièces et les billets pour un travail sur la monnaie. Il suffit de télécharger des packs tout prêts sur le site de Prométhéan (il en existe pour les autres TNI).

    EX:  la monnaie : Copier les pièces et les billets qui vous intéressent à la taille voulue dans un papaerbord, enregistrer le paperbord, puis demander à un élève de mettre les billets et pièces nécessaires pour payer un objet dont on aura écrit à la main le prix sur le paperbord.

    Une fois le travail réalisé correctement, le refaire en passant à la page suivante ou en effaçant le travail de l'élève.

     

    Ce type de travail se situe entre la manipulation individuelle (avec découpage) qui est nécessaire (même en cycle 3) mais parfois longue et le passage à l'abstrait (ex: remettre les mots dans l'ordre mais sans découper les étiquettes). C'est souvent à ce moment-là que les élèves ont le plus de difficultés. Le TNI permet de passer de la phase de manipulation à l'abstraction sans heurt. Il permet à des élèves plus en difficulté de faire des essais sans laisser de traces d'erreurs: c'est rassurant. Il peut donc être utilisé en collectif mais également en soutien pendant le temps de la classe pour quelques élèves.

     


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    On peut aussi intégrer dans un paperbord toutes sortes de tableaux dans lesquels on peut mettre les colonnes en couleurs (bien pour la mémoire visuelle; il est plus facile de se créer une image mentale du tableau, ou d'autre chose, quand il y a différentes couleurs) .

    Pour l'enseignant, une fois qu'il les a créés ou téléchargés (Il y en a de nombreux et gratuits à télécharger sur le site de Promethéan, à vous de choisir) c'est un gain de temps et un coût moindre: il peut les réutiliser à l'infini en collectif ou en petits groupes.

    On peut acheter de grands tableaux plastifiés, par exemple de mesures, tout prêts (aimenté ou plastifiés) mais c'est cher. De plus, il vaut mieux en avoir plusieurs (par exemple un par type de mesure) car si toutes les mesures sont sur le même tableau, cela devient très compliqué pour les enfants qui ont déjà des problèmes de repérage dans l'espace/temps ou pour ceux qui ont des difficultés en lecture.

    Quand un élève vient sur le TNI placer un nombre par exemple, dans un tableau, il le vit avec tout son corps: il fait aussi travailler sa mémoire Kinésthésique.

     

    Pour compléter ce travail, je fabrique des tableaux individuels (les mêmes) plastifiés pour chaque élève afin qu'il puisse le faire parallèlement en travail individuel: il abandonne son tableau quand il a totalement intégré son utilisation. Certains élèves se passent de tableaux très vite, d'autres mettent plus de temps: c'est à eux de savoir ce dont ils ont besoin.

     

     


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  •  Combinaison de tableaux verrouillés et d'étiquettes.  

     

    Ex: étiquettes avec des indicateurs de temps à replacer dans un tableau passé/ présent/futur.

    Les élèves ont besoin de manipuler: ce genre d'exercice le permet tout en gagnant du temps,et du temps, on en manque !

    Ce type d'exercice pose d'emblée plusieurs problèmes aux élèves: le vocabulaire (la veille, jadis, autrefois, etc ) et le repérage dans l'espace/temps.

    Le faire sur le TNI d'abord en collectif va apporter un plus. Premièrement, comme les étiquettes sont lues ensemble, il n'y a plus le problème de lecture.

    Deuxièmement, comme il n'y a pas à écrire, il n'y a pas non plus la difficulté d'écriture, du graphisme. Ces deux difficultés sont écartées pour ne garder que la compétence qui nous intéresse, à savoir, trier les indicateurs de temps.

    Le TNI permet, par son utilisation, d'éviter de cumuler les difficultés et de se recentrer sur les compétences visées. J'aurai mis dans mes étiquettes, des indicateurs de temps évidents pour tous et quelques autres moins évidents.

     

    Je vais forcément envoyer au TNI un élève qui aura des difficultés au niveau du vocabulaire et du repérage dans l'espace/temps car je souhaite un débat dans la classe sur ces 2 thèmes.

    C'est là que j'interviens en tant qu'enseignante: mon rôle est d'inciter les élèves à argumenter à expliquer pourquoi ils ne sont pas d'accord, à donner des exemples pour justifier leur intervention. C'est souvent la difficulté majeure: les élèves connaissent la réponse mais ne savent pas expliquer leur choix. Or, pour intégrer correctement une règle afin de pouvoir la réutiliser ultérieurement, il faut être capable de la justifier, de la verbaliser et de la prouver par des exemples.

    Pour moi, c'est le rôle essentiel de l'enseignant. A la fin, bien sûr, je dois également leur faire faire la synthèse de ce qui a été fait. Bien entendu, comme j'aurai mis plus d'indicateurs de temps évidents que d'autres, l'élève qui est venu au TNI sera félicité car il a réussi, malgré quelques difficultés, à placer un grand nombre d'étiquettes correctement dans le tableau.

    Mon document sur le passé/présent /futur :

    « passe present ou futur.flipchart »

    Dans la dernière page, j'ai dupliqué les étiquettes pour pouvoir les réutiliser plusieurs fois (navigateur d'objet, cliquer sur l'icone des 2 pages blanches)

     


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  • On peut rentrer une page de cahier lignée dans un paperbord.

    Certains élèves de cycle 3 ont encore une écriture peu soignée, les lettres sont mal formées ou écrites à l'envers. On peut faire venir au TNI les élèves les plus en difficulté avant de les faire écrire dans le cahier. L'écriture est loin d'être parfaite mais c'est le geste dans l'espace qui me semble important. Les lettres seront tracées à la verticale et en gros comme en maternelle et au CP : c'est assez efficace à la longue. Par rapport à un tableau à craie , on a le lignage en plus ; par rapport au velleda, l'élève n'efface pas ce qu'il écrit au fur et à mesure.

    Certains enfants ont aussi du mal en copie : ils sont lents, oublient des lettres ou des mots. Souvent , ils ne sont capables de mémoriser que 4 à 5 signes à la fois. Cela  explique les allers et retours visuels entre le cahier et le tableau et leurs erreurs ou lenteur.

    Il est donc nécessaire d'accroître cette mémoire de copie : la copie cachée me parait être un bon entraînement. Je copie un texte au TNI et je mets le rideau ( dans outils).

    Les élèves doivent mémoriser une ligne; je cache , ils copient. 

    J'en profite pour les faire réfléchir sur le type de mémoire qu'ils utilisent de préférence. Si c'est une mémoire visuelle, je leur demande après avoir lu la ligne de la visualiser dans leur tête ; si c'est plutôt une mémoire auditive, je leur demande de redire chaque mot et de l'épeler dans leur tête.


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  • Tous nos élèves regardetn la télé, des DVD, des vidéos sur internet...

    La vidéo est devenu un moyen de communication commun.

    Il me parait donc très important d'apprendre à nos élèves à "lire" des vidéos.  Certaines vidéos peuvent être dangereuses pour les enfants: souvent ils sont persuadés que ce qu'ils voient à la télé ou sur internet est vrai et ils ne comprennent pas toujours bien ce qu'ils voient. Si on ne les informe pas des dangers, si on ne leur apprend pas comment les regarder, on prend le risque que les plus défavorisés les mettent toutes au même niveau et n'en tirent que peu d'informations.

    Alors c'est vrai, nous ne sommes malheureusement pas formés pour ça ! C'est bien dommage!  Et cependant, doit-on pour autant laisser nos élèves regarder n'importe quoi n'importe comment.

    Travailler de petites vidéos en collectif est intéressant. On peut d'ailleurs utiliser pas mal de vidéos qui collent au programme. 

    ex: un petit morceau d'un JT sur Versailles ou un morceau de DVD sur les animaux en sciences.

    D'où vient ce document ? Que nous apprend-il ? Quelle est son utilité?

    Sur un TNI, on peut repasser les séquences autant de fois qu'on le veut, mettre en pause. Contrairement à la télé, tout le monde voit car c'est sur écran géant.

    Cela peut être l'occasion d'un débat et d'un petit entrainement au brouillon à la prise de note. On note quelques mots qui nous semblent important pour en reparler après. Puis on fait une petite synthèse ensemble.

    Dans une vidéo, on a parfois de l'écrit, beaucoup d'images et du son.

    J'ai remarqué que les élèves n'ont pas trop de problème avec l'écrit ni avec l'image. Par contre, ils perçoivent mal les sons, les paroles, qui ne sont pas directement liés à l'image.

    Une fois que les élèves ont bien compris comment utiliser un logiciel comme VLC, par exemple, et qu'ils ont fait plusieurs analyses de vidéos en sciences, géographie ou autre matière, je leur donne des travaux de recherche guidée à faire sur des vidéos sur ordinateur.

    Sur le TNI, j'ai préparé un paperbord avec une copie d'écran d'une vidéo qui passe dans VLC. J'ai légendé les différentes touches de VLC (pause, lecture, retour arrière, etc) que je laisse sur le TNI comme mémo, pendant que les élèves travaillent sur leurs ordis.

    Bien entendu, pour chaque vidéo, j'ai au préalable préparé un questionnaire (dans l'ordre de la vidéo) pour les aider à comprendre la vidéo. Mon questionnaire se termine toujours par une question ouverte dans lequel je vais leur demander leur avis sur un point précis de la vidéo.

    Puis on fait la synthèse de ce qu'ils ont retenu: c'est un bon outil d'apprentissage s'il est guidé.

    On peut faire travailler les élèves par petits groupes (2 ou 3 ) si la classe est calme, les cartes son des ordinateurs et le son des vidéos  de bonne qualité sinon il faut s'organiser pour faire tourner les élèves sur les ordinateurs avec des micro-casques. 


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  • La visionneuse est un appareil qui fonctionne un peu comme une webcam.

    On peut mettre n'importe quel document sous la visionneuse (ex: fichier, photo, livre, etc) et passer le document sur l'écran du TNI, un peu comme un scan. Les documents peuvent avoir un format qui peut aller jusqu'au A3. On peut également mettre sous la visionneuse un objet que l'on souhaite montrer à tous.

    Une fois que l'image est sur l'écran, soit on utilise les outils de bureau pour écrire dessus, les colorier, etc; soit on fait une copie partielle du document et on rentre la copie obtenue dans le logiciel du TNI. C'est légal dans la classe si l'on respecte ce cadre : voir article du BO sur ce lien .

    On peut également passer sur le TNI les cahiers des élèves. Les élèves débattent sur le travail, les réponses proposées. Mon rôle d'enseignant est de les pousser à argumenter. Il est bien évident que les élèves vont être beaucoup plus motivés dans leurs recherches. Il y aura de moins en moins de réponses absurdes.

    On imagine les apports que cela peut avoir en dictée, en problèmes, en sciences. Dans ces deux derniers cas, on va pouvoir débattre sur les meilleures stratégies de réponses proposées.

    Quand on demande aux élèves de s'aider d'un schéma pour résoudre un problème, 80% des élèves ne vont pas comprendre ce qu'on leur demande.

    Par exemple: Un bus part de la place Corbis. Au départ, 14 personnes montent dedans. Au premier arrêt, 6 personnes descendent et 3 montent. Au deuxième arrêt, 1 personne descend et 5 montent. Au troisième arrêt, 2 personnes descendent, personne ne monte. Combien de personnes sont encore dans le bus quand il repart?

    La plupart des élèves vont même oublier qu'on leur demande de répondre à une question : ils vont dessiner un beau bus avec des gens et consacrer toute leur énergie à dessiner et non à chercher la réponse à la question.

    Le fait de mettre sur grand écran change complétement la donne et évite , à la longue,  les réponses absurdes. " Rappelle-moi ce que tu cherches . Pourquoi as-tu dessiné ça?. As-tu répondu à la question? Comment aurais-tu pu faire?"

    On peut utiliser les travaux des élèves qui ont réussi: ils viennent expliquer leurs stratégies aux autres. D'ailleurs, on peut souvent observer que ceux-ci utilisent des schémas et non des dessins. Le rôle de l'enseignant me semble de pousser les élèves à verbaliser ce qu'ils ont produit ("Qu'est-ce que tu as fait? Pourquoi?"): ils sont obligés d'argumenter et se rendent compte seuls que leurs réponses sont parfois absurdes. Bien entendu, il faut ensuite faire la synthèse.

    Les rallyes mathématiques du département ou en ligne (Rallye maths Isère) sont excellents pour ce genre d'activités. Les élèves utilisent le matériel et les stratégies qu'ils préfèrent pour répondre: l'objectif est de réfléchir, de répondre à une question et non d'utiliser une technique. Cette donnée me semble importante car souvent les élèves confondent la technique utilisée avec la stratégie pour répondre à la question. Par exemple, si vous êtes en train de travailler sur la multiplication en maths, la plupart des élèves vont avoir tendance à résoudre le problème par une multiplication .

    Afin d'éviter de mettre mal à l'aise certains élèves, je travaille souvent en petits groupes hétérogènes en maths et sciences avant de passer au travail individuel.

     

     


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  • Vous devez choisir votre visionneuse selon l'espace, les crédits dont vous disposez et l'utilisation que vous souhaitez en faire.

    Certaines visonneuses ne fonctionnent qu'avec un TNI: elles sont assez chères mais de très bonne qualité. Elles permettent de visionner et de reproduire des oeuvres d'arts, des schémas, dans leur couleurs d'origine. 

    D'autres sont moins chères et s'adapent sur n'importe quel TNI ou VP. Par contre, il est possible que les couleurs soient modifiées selon la luminosité de votre pièce.

    Avant d'acheter une visionneuse, il faut également vérifier la compatibilité entre ses drivers et l'environnement de votre ordinateur: cela peut poser problème.

    Certaines visionneuse occupent pas mal de place, d'autres sont totalement pliables et occupent une toute petite boîte lorsqu'elles sont repliées.

    Il faut donc réfléchir à tous ces critères avant d'en acheter une. 


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  • Voici comment fabriquer une visionneuse quand on a peu de moyens.

    Tout est expliqué sur ce site: Formidable !

    Merci François !


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  • Pour travailler avec faire de la grammaire et je mémorise des mots, je suis allée sur l'excellent site de maikresse 72.

    Cliquer ici pour y aller.


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