• Pour s'entraîner et pour revoir les règles en français niveau cycle 3.

    Des exercices en ligne à faire à l'école et à la maison.

    Site de l'école d'Onnion organisé par matière et par niveau qui renvoie à d'autres sites.


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  • Pour s'entraîner en maths en ligne : exercices en ligne


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  • Sur un TNI, on peut projeter toutes sortes de documents : des textes (quelque soit le format), des photos, des vidéos, des documents sonores. On peut aussi accéder au net et à ses innombrables ressources. On peut fabriquer des documents avec le logiciel du TNI et réutiliser ces documents à l'infini.

    Ce matériel est utilisable dans toutes les classes de primaire. Il est donc préférable qu'il soit réglable en hauteur. Petite précision , le TNI ne supporte pas la poussière donc faîtes plastifier les tableaux que vous gardez en classe.

    Je voulais faire un seul article mais il y a tellement à dire que j'en ferai plusieurs et je n'en suis qu'au début des possibilités d'un tel outil.

    Il est clair pour moi que les bénéfices d'un tel outil dans une classe sont incalculables : ce n'est pas un gadget ! De nombreux pays ont déjà équipé leurs écoles.  Toutes les classes devraient en avoir surtout les classes de ZEP. Les enseignants devraient être formés. 

    Alors bien sûr, c'est cher...! Il faut effectivement faire des choix et savoir si l'on veut que nos élèves, nos enfants, reçoivent une formation de qualité, une formation qui leur permette d'être actifs, flexibles, de réfléchir et de faire des choix en autonomie.


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    Exemples de manipulations très faciles et rentables :

     

    - Préparer la séance d'orientation USEP qui se déroulera sur un immense terrain inconnu .

    Importer la carte du terrain ( fournie par l'USEP en PDF ) dans le logiciel du TNI.

    Distribuer la même carte à chaque élève, faire venir au TNI un élève . Demander aux élèves de colorier petit à petit les éléments distinctifs qui vont permettre de connaître le terrain sans le voir. L'élève (ou les élèves) qui est au TNI le fait sur grand écran devant les autres en fluo de différentes couleurs : il pourra y avoir débat entre les élèves s'ils ne sont pas d'accord (donc argumentation) et pour finir le corrigé sera sur grand écran, ce qui évitera bien des erreurs. Aller ensuite sur google earth sur le même terrain pour faire un rapprochement entre la carte et la vision satellite. On peut en profiter pour apprendre aux élèves à utiliser google earth.

     

    Les élèves ne sont pas encore allés sur le lieu de la rencontre USEP, cependant ils le connaissent déjà bien .

     

    Importer un PDF pour lire les règles des sports USEP: préparation de la rencontre athlétisme.

     

    Récupérer les PDF mis en ligne sur le site de l'USEP et les importer dans le logiciel du TNI.

    Agrandir le document pour un meilleur confort de lecture et le lire en collectif. Analyser ensemble les difficultés et les schémas, surligner les mots qui posent problème ou que l'on veut mettre en valeur. En profiter pour décortiquer la structure et le vocabulaire utilisé dans une règle du jeu en utilisant différentes couleurs.

     

    On peut évidemment reproduire ces activités pour n'importe quel texte , carte, schéma.

    Cela permet aux enfants d'être actifs: le TNI est très attractif. Comme ils ont envie de venir agir sur le TNI, ils sont beaucoup plus attentifs. Les documents sont agrandis ce qui apporte un plus grand confort de lecture , notamment aux élèves en difficulté. Cela apporte un plus au niveau de la mémoire visuelle : on peut surligner de plusieurs couleurs. Quand un élève se trompe et que les autres le remarquent, le débat nait dans la classe et les arguments fusent pour faire changer la réponse de l'élève qui a le stylo du TNI.

    On peut écrire sur un document pour le compléter, analyser sa structure, etc... Dans ce cas là, il vaut mieux dupliquer le document importé et l'agrandir en 150%. On déplace ensuite le document pour avoir la partie qui nous intéresse puis on le complète.

     

    L'écrit, même littéraire est désacralisé. Il redevient manipulable, on peut le gribouiller : il ne fait plus peur, on peut donc se l'approprier plus facilement.

     


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  •  Apprendre à utiliser google earth ou géoportail pour se repérer dans l'espace non pas sur une petite feuille horizontale mais sur un grand écran qui oblige l'ensemble du corps à mémoriser l'espace. 

    On peut repérer sa maison , son quartier et ses bâtiments, (et vu d'un satellite, la vision n'est pas la même), où habitent les correspondants, où se situe le pays du texte qu'on est en train de lire, chercher des monuments: bref, on visite le monde à moindre frais. C'est quand même un superbe outil notamment pour des enfants défavorisés.

     

    On peut aller plus loin et apprendre à faire des schéma plus facilement.

    Faire repérer l'endroit qui intéresse la classe sur google earth. Faire une capture d'écran partielle de la vue grâce au logiciel du TNI.

    L'insérer dans le logiciel du TNI.

    Faire répérer par la classe les endroits notables et les faire colorier de différentes par un élèves sur la photo du TNI.

    Enfin, supprimer l'image/photo de fond: il ne reste que le schéma fait par les enfants. Il suffit ensuite de le légender. Les enfants peuvent ensuite le reproduire.

    En reproduisant cet exercice plusieurs fois, les élèves apprennent, petit à petit, à réaliser un schéma en géographie seul.

    C'est impossible de faire ça sur un tableau !

     

    Il est possible de faire la même chose à partir d'une image de DVD. Mettre le DVD en pause, faire une capture (photo) d'écran partielle, l'intégrer dans le logiciel du TNI et l'utiliser comme expliqué ci-dessus. Ce système peut donc servir en géographie mais aussi en arts visuels et en sciences.

     


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  •  Comme dans beaucoup d'école rurale, j'ai des dictionnaires dans ma classe mais ce ne sont pas tous les mêmes. C'est plus compliqué pour apprendre à les utiliser mais en même temps, cette différence (certains sont pour le cycle 2 , d'autres sont des dictionnaires d'adultes) permet à tous d'utiliser progressivement des dictionnaires normaux (adultes). D'ailleurs, souvent, dans les dictionnaires de cycle 2 et dans ceux de début de cycle 3, il n'y a pas de définition, il n'y a qu'un exemple, ce qui est à mon avis un gros manque.

     

    Bref, c'est très difficile de savoir utiliser correctement un dictionnaire. On le voit même en fac. En langue, combien d'étudiant pour traduire, prennent le premier mot proposé sans se préoccuper du contexte. Si on enlève la difficulté de l'ordre alphabétique qui est l'étape préalable (voir paragraphe sur les étiquettes) il reste de nombreux problèmes à résoudre.

     

    1 Trouver le mot repère 

     

    2 Trouver le mot dans les deux pages (Pour certains élèves, mauvais lecteurs, c'est terrible de chercher un mot au milieu de tous ces autres mots, cela relève du prodige).

     

    3 Quelle est la ou les définitions du mot? Différence entre définition et exemple . 

     

    4 Pourquoi y a-t-il plusieurs numéros dans un mot? Le nombre de sens possibles.

     

    5 Que signifient les abréviations N. V. Adj. m. f. etc ?

     

    6 Comment trouver un synonyme?

     

    7 Comment trouver un contraire?

     

    Ce sont les difficultés minimum auxquelles vont être confrontés nos élèves. Ca fait beaucoup de choses en même temps. Le TNI permet de résoudre ces problèmes beaucoup plus facilement, rapidement et permet de rassurer les élèves qui se sentent en danger, en difficulté.

     

    Il suffit de scaner quelques pages des dictionnaires, du plus simple au plus complexe. (par contre dans l'utilisation individuelle, il faut quand même proposer aux élèves d'utiliser le dictionnaire qui sera le plus adapté à son niveau de lecture). Importer ensuite les PDF dans un paperbord. Dupliquer les pages. Les pages de dictionnaires sont donc sur grand écran. Il est beaucoup plus facile d'expliquer les notions avec le support visuel.

     

    Etape 1: Conserver les pages entières des dictionnaires pour faire surligner en fluo de couleur les mots repères. Passer au travail individuel pour vérifier que tous les élèves sont capables de repérer ces mots.

     

    Etape 2 : Repérer le mot dans la page. Agrandir le PDF si besoin. Débattre sur l'ordre alphabétique si besoin. Surligner le mot . Passer en phase individuelle.

     

    Etape 3 : Agrandir en 150% le document. Comme le texte est écrit très gros, on élimine en partie les difficultés de lecture.

     

    Faire colorier , après débat argumentatif, de différentes couleurs, la ou les définitions et les exemples. Reproduire plusieurs fois l'exercice en collectif car ce n'est pas évident puis passer au travail individuel. C'est là qu'on peut expliquer aux élèves la différence entre les dictionnaires pour "petits" et les autres. Cela peut inciter les élèves à passer aux dictionnaires de "grands" malgré leur difficultés en lecture.

     

    Etape 4: Avec le même document agrandi. Faire repérer le nombre de sens d'un mot (entourer de différentes couleurs). Discuter sur les différentes définitions proposées et sur la raison de ces différentes définitions. Faire chercher ensuite d'autres mots qui ont plusieurs sens dans le dictionnaire en individuel. Puis proposer d'abord collectivement, puis individuellement, des exercices dans lesquels il faudra chercher quel sens convient pour un même mot utilisé dans différentes phrases. A chaque fois, le rôle de l'enseignant est de faire justifier son choix à l'élève.

     

    Etape 5: Toujours avec le même document agrandi: faire repérer en fluo ou entourer les abréviations. Faire rechercher leur sens. Les collecter. Travailler ensuite en grammaire tout au long de l'année sur la nature des mots et compléter petit à petit ce qui a été collecté, donc revenir sans arrêt au travail qui a été mené sur le dictionnaire. Proposer au fil de l'année, selon ce qui a été travaillé en grammaire de nouveaux exercices sur le sens des abréviations (simples et courts du genre relier les abréviations et les noms complets).

     

    Etape 6 et 7: Faire repérer les synonymes et les contraires avec les mêmes techniques. Le faire tôt dans l'année avec les CM1 si on travaille avec les méthode "Je mémorise des mots..." en orthographe car ils en ont besoin assez vite.

     

    Il est bien évident que l'utilisation du TNI facilite énormément la tâche aux élèves. Toutes les classes devraient bénéficier de cet outil. A plus forte raison les élèves défavorisés qui ne disposent pas de dictionnaire à la maison par exemple ou qui ont des difficultés en lecture. Le dictionnaire, la capacité d'un élève à l'utiliser correctement est quand même fondamentale pour l'acquisition des savoirs. L'utilisation du TNI a également un rôle psychologique; il permet de désacraliser le dictionnaire (objet sacré car il représente par excellence le livre de tous les savoirs) qui peut faire peur à certains élèves. Le fait de gribouiller dessus, de le raturer va le transformer en simple outil et casser cette image. L'élève se l'approprie et va accepter de l'utiliser sans scrupule: il n'y a plus de barrière.

     

    On peut reprendre le même travail en petit groupe, en soutien pendant la classe s'il faut plus de temps à certains. On peut aussi mettre un élève qui a très bien compris et qui est très rapide avec ce groupe: les élèves se comprennent parfois mieux entre eux. L'enseignant peut travailler avec un autre groupe pendant ce temps.

     

    Pour l'enseignant, c'est un gain de temps à la longue et une économie d'énergie; il faut quand même se créer son outil de départ et ça prend du temps, mais il est parfaitement adapté à la classe. C'est aussi une satisfaction de voir que ce que l'on explique aux élèves est mieux compris car il y a un support visuel collectif. On peut reprendre le document produit quand on en a envie : " mais si ,..., tu te rappelles, on l'avait vu quand on avait travaillé sur le dictionnaire"... et on ressort le document pour un rapide rappel. A coup sûr, on va entendre: "Ah oui... C'est vrai!"

     

    Pour les dyslexiques informatisés, proposer le même travail mais ensuite les faire travailler en individuel avec l'enseignant sur leur ordinateur pour apprendre à utiliser le Littré de la framakey.

     

     


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    Si on ne souhaite pas forcément conserver une trace de ce qui a été fait, on peut travailler directement sur les documents (vidéo, word, etc) en utilisant les notes de bureau.

    Je préfère conserver des traces pour pouvoir faire des rappels aux élèves de ce qui a été fait. Je rentre donc tous mes documents dans des paperbords; une fois que nous les avons réalisés ou utilisés, je les enregistre en précisant dans le titre "fait" afin de pouvoir différencier les documents originaux qui peuvent resservir l'année suivante.

     


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  • Il est très facile de créer des étiquettes avec les logiciels de TNI.

    Mode d'emploi sur Promethean :

    - choisir une des formes (rectangle, rondes, etc ) proposée par Active Inspire (logiciel TNI) et de la mettre à la taille voulue

    - puis taper ce que  l'on souhaite mettre dedans.

    - positionner le texte sur l'étiquette si vous n'avez pas bien placé votre curseur avant de taper.

    - Faire passer l'image de l'étiquette au niveau inférieur si on a d'abord écrit le texte avant de faire l'étiquette (navigateur de propriété de l'objet qui apparait quand on clique dessus puis  choisir organiser et enfin niveau inférieur) .

    - Cliquer sur la flèche et sélectionner le texte et l'image de l'étiquette ensemble et les grouper pour qu'elles bougent ensembles (navigateur de propriété de l'objet : cliquer sur l'icone des 2 carrés verts entourés ensemble). Et voilà !

     Les étiquettes peuvent servir à reconstituer des phrases, remettre des paragraphes ou des nombres dans l'ordre, placer des mots dans un tableau, qui lui sera verrouillé (l'élève ne peut plus le déplacer).

     

    On peut créer par exemple très facilement un paperbord avec des lettres puis des mots à remettre dans l'ordre alphabétique: ce paperbord aura plusieurs pages afin d'être progressif. Certains élèves n'auront pas besoin de faire les pages du début et d'autres ne feront pas celles de la fin. Organiser ensuite des "concours de dictionnaires " afin d'apprendre à chercher des mots très vite dans le dictionnaire.

    ex de document: mes étiquettes pour l'ordre alphabétique ici. ordre alphabetique.flipchart »

     C'est un gain de temps qui permet d'éviter une grosse préparation matérielle, comme le découpage . Nos élèves sont encore à l'âge de la manipulation mais notre temps est limité. Le TNI, utilisé ainsi, se situe entre la manipulation et l'abstraction. Il permet de passer plus facilement de l'un à l'autre.

    Pour les élèves qui ont plus de mal à comprendre, il faudra peut-être reprendre le même travail en petit groupe, voire individuellement, une deuxième fois. C'est l'autre avantage: on peut réutiliser le même à l'infini.

    Le TNI permet aux élèves, lents en copie, ou qui ont des difficultés en écriture, de travailler l'écrit, de le manipuler sans écrire au départ (comme les étiquettes mais il n'y a pas non plus l'obstacle d'avoir plein de petites étiquettes que l'on perd !). Bref, l'élève comprend la notion, est actif d'abord puis on complexifie la tâche en rajoutant l'écriture.

     

    Le TNI permet de travailler même si la classe est très hétérogène. Les usages sont multiples. Les élèves sont actifs: ils cherchent même s'ils ne sont pas tous au TNI.

     

    Le TNI permet également d'utiliser des étiquettes pour cacher du texte ou des images. On peut cacher le bas d'une ligne de texte, ou une partie des mots (lecture cycle 2). On peut cacher les mots et laisser une image visible (langue, orthographe).

     

    On peut préparer des exercices de toutes sortes et cacher les réponses avec des étiquettes noires que les élèves vont déplacer.

    Ce genre d'exercice peut être utilisé en collectif mais également en soutien pendant le temps de classe. Ce travail en autonomie permet de faire travailler par petits groupes sur des exercices autocorrectifs. La différence avec le travail sur fichier auto-correctif, c'est que les enfants sont plusieurs sur le même grand document: ils sont obligés de discuter entre eux et d'argumenter afin de ne proposer qu'une seule réponse. Parfois, d'ailleurs, ils viennent vous chercher quand ils n'arrivent pas à se mettre d'accord.

    Le rôle de l'enseignant est de faire un bilan avec le groupe sur ce qui a été réussi et sur les erreurs et de faire le point avec les élèves sur le pourquoi des erreurs et donc de faire résumer aux élèves ce qui a été compris.

    Dans un fichier auto-correctif, l'élève qui s'est trompé voit la bonne réponse, fait le constat qu'il s'est trompé, mais cela va rarement plus loin.

     

    Le TNI permet également d'utiliser des spots ou un rideau. Utile en arts visuels pour faire découvrir une oeuvre par morceau puis éventuellement inventer, compléter, le reste du tableau.

    Utile en lecture et en rédaction pour vérifier la compréhension d'un texte en faisant inventer la suite ou le début de l'histoire.

    Alors bien sûr, là encore, cela peut être fait individuellement, sur photocopie. Mais là encore, le TNI apporte un plus.

    D'abord, les écoles ne peuvent pas faire de photocopies couleur pour chaque élève. Voir une oeuvre d'art, en couleur et sur écran géant c'est quand même autre chose que regarder un document en couleur sur un format A3 pour toute la classe ou en A4 en noir et blanc individuellement.

    Et surtout, l'avantage majeur du TNI est qu'il pousse au débat, à l'argumentation, à la justification car il n'y a qu'un document collectif géant et qu'il peut y avoir plusieurs propositions qui en découlent.

     


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    On peut aussi y intégrer des objets que l'on peut dupliquer comme les pièces et les billets pour un travail sur la monnaie. Il suffit de télécharger des packs tout prêts sur le site de Prométhéan (il en existe pour les autres TNI).

    EX:  la monnaie : Copier les pièces et les billets qui vous intéressent à la taille voulue dans un papaerbord, enregistrer le paperbord, puis demander à un élève de mettre les billets et pièces nécessaires pour payer un objet dont on aura écrit à la main le prix sur le paperbord.

    Une fois le travail réalisé correctement, le refaire en passant à la page suivante ou en effaçant le travail de l'élève.

     

    Ce type de travail se situe entre la manipulation individuelle (avec découpage) qui est nécessaire (même en cycle 3) mais parfois longue et le passage à l'abstrait (ex: remettre les mots dans l'ordre mais sans découper les étiquettes). C'est souvent à ce moment-là que les élèves ont le plus de difficultés. Le TNI permet de passer de la phase de manipulation à l'abstraction sans heurt. Il permet à des élèves plus en difficulté de faire des essais sans laisser de traces d'erreurs: c'est rassurant. Il peut donc être utilisé en collectif mais également en soutien pendant le temps de la classe pour quelques élèves.

     


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    On peut aussi intégrer dans un paperbord toutes sortes de tableaux dans lesquels on peut mettre les colonnes en couleurs (bien pour la mémoire visuelle; il est plus facile de se créer une image mentale du tableau, ou d'autre chose, quand il y a différentes couleurs) .

    Pour l'enseignant, une fois qu'il les a créés ou téléchargés (Il y en a de nombreux et gratuits à télécharger sur le site de Promethéan, à vous de choisir) c'est un gain de temps et un coût moindre: il peut les réutiliser à l'infini en collectif ou en petits groupes.

    On peut acheter de grands tableaux plastifiés, par exemple de mesures, tout prêts (aimenté ou plastifiés) mais c'est cher. De plus, il vaut mieux en avoir plusieurs (par exemple un par type de mesure) car si toutes les mesures sont sur le même tableau, cela devient très compliqué pour les enfants qui ont déjà des problèmes de repérage dans l'espace/temps ou pour ceux qui ont des difficultés en lecture.

    Quand un élève vient sur le TNI placer un nombre par exemple, dans un tableau, il le vit avec tout son corps: il fait aussi travailler sa mémoire Kinésthésique.

     

    Pour compléter ce travail, je fabrique des tableaux individuels (les mêmes) plastifiés pour chaque élève afin qu'il puisse le faire parallèlement en travail individuel: il abandonne son tableau quand il a totalement intégré son utilisation. Certains élèves se passent de tableaux très vite, d'autres mettent plus de temps: c'est à eux de savoir ce dont ils ont besoin.

     

     


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